lundi 11 juillet 2011

TESTOSTERONE

Décidément notre société occidentale aseptisée ne fait pas bon ménage avec sa biologie. Si dérangeante. Les vieilles conceptions machistes sont révolues mises KO et même inversées. la testostérone est placée sous haute surveillance. N’est-elle pas responsable des guerres, des crimes, des viols ? D’une manière générale la domination masculine mise à mal depuis cinquante ans a profondément modifié le dialogue du couple. L’égalité, si tant est qu’elle fût en défaut, est désormais rétablie et même inversée ; mais la complémentarité a vécu et le divorce s’impose désormais comme un passage quasi incontournable.

Les femmes sont, comme par le passé, sollicitées par les avances masculines. Celles-ci sont bien sûr plus alléchantes que la routine conjugale. Pourquoi se priver ? Le risque de maternité inopportune n’est plus d’actualité et les séducteurs occasionnels ne sont plus éconduits. Ce n’est plus qu’une question de savoir faire ou de moyens. La moralité étant bien sûr hors jeu. C’est plus grisant que de jouer bobonne à la maison. Si madame assouvit sa libido via de torrides « 5 à 7 » et que régulièrement son époux légitime est repoussé la nuit par des « j’ai mal à la tête » sans réplique pourra-t- on encore s’étonner de l’empressement de certains hommes à exiger de leur épouse « libérée » d’accomplir le devoir conjugal ? Voyons vous vous trompez d’époque ! C’est encore cette méchante testostérone. On a des formules pour cela : « viol conjugal ». Cette contradiction dans les termes, comme bien d’autres aujourd’hui, n’interpelle plus personne : on n’essayera pas de comprendre. La testostérone a toujours tort devant les juges.
Pratique pour les nanas. Une vie extérieure des sollicitations, un large choix et la contraception. Les menstruations feront bientôt partie du passé : Bien de femmes n’en veulent plus, c’est tendance et nous avons des outils pour cela.

Que reste-t-il aux hommes encore normalement constitués ? L’abstinence ? Les filles peuvent se promener pratiquement nues et afficher leurs charmes les plus intime : fesses bien moulées par un jean avec fente vulvaire qu’on n’a aucun mal à deviner. Comme si les hommes exhibaient leur convexité phallique en pleine érection. Attention elles ont le droit de choisir ceux que leurs appâts ont attirés. Les autres n’auront plus qu’à ravaler leurs pulsions, ce ne sont que des vicieux, des voyous, à la limite de la délinquance et relevant de la castration chimique.

Plus que la testostérone hormonale, c’est la testostérone culturelle qui elle aussi dérange. Les attitudes viriles sont mal accueillies et aux certitudes de la décision on préfèrera les nuances qui paralysent, et les arguties perverses. Plutôt que de faire, on préfèrera des réunions pour étudier « comment faire ». Ce qui conduira le plus souvent à remettre c'est-à-dire ne rien faire du tout.

Heureusement les occidentaux sont depuis leurs premières années de collège conditionnés pour bannir autant que faire se peut ces penchants masculins. Etre efféminé, c’est bien mieux accepté. Par contre on célèbrera la virilité venue d’ailleurs, de l’autre côté de la méditerranée qui elle a encore le droit de s’exprimer. S’étonnera-t-on de ce nouveau créneau de tourisme sexuel féminin dans les pays d’Afrique ?

C’est dans ce même registre que j’inscrirai la passivité quand ce n’est pas une complaisance coupable des occidentaux face à des états qui nous méprisent, ou des yeux de Chimène pour les terrorismes les plus barbares eux aussi venus d’ailleurs.
Notre Occident civilisé est peut être trop civilisé dans un univers qui ne suit pas les mêmes règles du jeu, et notre instinct de conservation trop émoussé pour résister aux menaces qui se profilent et dont nos intellectuels anesthésiés sous estiment la détermination, elle, on ne peut plus virile. C’est peut être cela qu’on appelle le déclin.

vendredi 17 juin 2011

J’AI DE LA SYMPATHIE (ET MEME DE L’ADMIRATION) POUR LUC FERRY

Pour dire vrai, j’en ai toujours eu, avec cependant la retenue que j’ai appris à m’imposer systématiquement vis-à-vis de l’enthousiasme que je pourrais être tenté d’éprouver pour un homme politique.

Mais après l’injuste procès que toute la classe politique se coalise en bloc pour lui faire, je comprends qu’il est des miens, c'est-à-dire que lorsqu’il discute, son cheminement n’est guidé par aucun schéma convenu, mais uniquement par la réflexion que lui inspire le sujet. J’allais dire « librement ». Mais cette liberté semble désormais faire partie du passé.

Agiter des idées nécessite par définition le recours à des mots et des thèmes, mais ceux-ci n’ont plus leur signification d’origine, ils deviennent des symboles qui renvoient à des situations ou des personnalités qui les ont marqués, ce qui les transforme, de vecteurs d’une pensée qu’ils étaient, en signaux.

Le cerveau de la classe médiatico-politique, n’est plus un organe de réflexion sensée, mais une grille comprenant des voyants lumineux qui réagissent à ces signaux pour émettre non plus des raisonnements, mais renvoyer des slogans qui n’ont plus rien à voir avec le sujet à traiter et qui sont perçus en fonction de ce que l’actualité médiatique vient de mettre sous le feu des projecteurs.

Dans l’affaire Strauss-Kahn, il était de bon temps, du moins « à chaud » de diaboliser le présumé-innocent mais présenté comme-coupable-riche-puissant-et-masculin, pour s’épancher sur la plaignante : africaine-défavorisée-et faible-femme ce qui devait tout naturellement conduire la bien-pensance à condamner DSK « sans autre forme de procès », comme on le dit chez Lafontaine dans « le loup et l’agneau ». Sauf qu’aujourd’hui, c’est l’agneau qui attaque avec le puissant soutien des appareils. A un point tel que dire une évidence telle qu’ « il n’y a pas eu mort d’homme » a de quoi déchaîner toute une opinion qui, si on devait aller dans son sens, nous ferait croire que c’est pire encore. Etre « pressant» dans ses avances masculines serait aujourd’hui plus grave (74 ans de prisons) que des crimes de sang en série (30 ans). Et je persiste à maintenir face à toutes les « Gisèle Halimi » du monde, qu’il n’y a pas eu mort d’homme.
Luc Ferry a voulu, non pas relativiser ni minimiser la présumée agression sexuelle imputée à DSK. Il s’est simplement détaché de toute la symbolique et des projecteurs actuellement braqués sur cette affaire, pour seulement raisonner avec « sa tête » (c'est-à-dire en « philosophe » et non pas en « politique »). Il a simplement voulu rappeler que bien des faits qui auraient pu représenter des « affaires », s’ils avaient été médiatisés, ne sont que phénomènes courants.
L’hypocrisie de la classe médiatico-politique consiste à faire semblant de découvrir ces pratiques. Luc Ferry n’a fait que parler vrai. Donc, Haro sur Luc Ferry ! On dit bien chez Guy Béart : « Le témoin a dit la vérité, il doit être exécuté ». On le fait violemment, sans nuances, et avec maladresse. Ce qui est frappant c’est l’unanimité de ce lynchage qui dépasse tous les clivages politiques et médiatiques, comme si chacun se sentait visé. Apparemment, ils « se tiennent tous par la barbichette ». On ne pouvait imaginer plus éclatante démonstration.

lundi 6 juin 2011

QUE DE MILLIARDS NE FABRIQUE-T-ON PAS POUR NOUS CULPABILISER

60 milliards d’euros ! (ou de dollars ?) Je ne m'en souviens plus ; et d’ailleurs cela n’a aucune importance puisqu’ils n’existent que dans le cerveau fertile de nos grands technocrates statisticiens.
Je viens d’écouter cela à la radio, et j’en tremble encore : c’est ce que coûterait annuellement la contrefaçon. Vous savez, ces sacs Louis Vuitton, et autres montres Cartier ou Rolex.

Oui 60 milliards ! Pire que Madoff ! Cette fois, les escrocs c’est vous et moi, pour avoir acheté au détour d’une semaine en Asie ou au Maroc quelques objets ou vêtements de pacotille imitant des signatures prestigieuses (mais tout autant de pacotille) qu’elles vous vendent à des prix indécents, sous la bénédiction de ces hautes autorités morales que sont nos gouvernants, qui nous accusent.

Mais comment a-t-on calculé ce gigantesque manque à gagner. Certes, si les consommateurs avaient payé au prix fort toutes ces marchandises, peut être atteindrions nous de tels montants. Mais les auraient-ils achetées ? D’une part. Et d’autre part, en quoi les profits de ces multinationales dont le plus clair, via des sociétés-gigognes, atterrit dans des Paradis Fiscaux échappant à l’impôt, représenteraient-ils un tel manque à gagner pour les états ? Oui les pubs. Mais elles aussi (déductibles) sont justement faites pour échapper à l’impôt et faire consommer des « gogos ».
L’emploi : Tu parles ! Derrière ces brillantes affiches et catalogues en papier glacé, tout le monde sait qu’il y a des enfants du tiers-monde rivés sur des chaînes plus de 15 heures par jour sans espoir d’une quelconque scolarisation, payés au bol de riz et sans aucune protection sociale. Ces prestigieuses signatures qui engrangent des millions reposent, nous le savons, sur cet esclavage intolérable.
Ajoutons que les têtes couronnées parées de ces luxueux originaux, pour la plupart d’entre elles, se les font offrir par les grandes enseignes qui vont en déduire fiscalement les montants ; ce qui non seulement ne rapportera rien à l’Etat, mais bien au contraire génèrera un manque à gagner supérieur à celui résultant d’un achat contrefait, sauf à imaginer le Prince Albert de Monaco par exemple, allant faire ses courses sur le marché de Vintimimille !

Un autre type de pharaonique « manque à gagner » préoccupe nos argentiers, c’est le téléchargement sur le « Net ». Ils redoutent un effondrement des profits des grands groupes de distribution de films et de musiques lourdement affectés par ces pratiques. Mais là aussi, les auraient-ils achetés ces musiques et ces films ? Sur le « Net » où fleurissent en toute impunité toutes sortes de comportements criminels, où l’on fomente des attentats, où l’on dépersonnalise, où l’on présente des tortures et des viols, où l’on conduit des adolescents au suicide etc. Eh bien, nos législateurs n’ont retenu comme criminel, que le téléchargement ! La morale, on s’en fout, mais ne touchons pas au gros fric des « petits copains » : dans cet océan d’impunité cautionné par notre sacro-sainte Liberté, qui va-t-on arrêter ? Les criminels ? Les proxénètes ? Pas toujours. Non c’est ce malheureux gamin de quinze ans que les policiers vont traumatiser à jamais en débarquant dans sa chambre de bonne pour lui passer les menottes. Il n’a pourtant rien contrefait, il était chez lui et a téléchargé les chansons de ses idoles, comme jadis nous le faisions tous avec un magnéto ! Eh bien non, les temps ont changé, on ne plaisante plus avec le fric. Politiques, vedettes du show-biz, grosses firmes : tout cela se tient, c’est chasse gardée. On légifère Hadopi. Vous, vous n’êtes bon que pour raquer. C’est la nouvelle donne.

samedi 21 mai 2011

"J'AI DE LA SYMPATHIE POUR LE GENOCIDE DE SIX MILLIONS DE JUIFS"

On m'opposera que ce ne sont pas exactement les propos tenus par le cinéaste Lars Von Trier qui a déclaré "J'éprouve plutôt de la sympathie pour Hitler", et d'enchaîner, je le cite: "d'ailleurs, Israêl nous emmerde". En clair, si Hitler avait bien fait son boulot, on ne serait pas "emmerdé" par Israël.
Si on comprend bien, pour cet ignoble personnage, la fumée des fours crématoires où on carbonise par centaines de milliers des êtres humains, ou alors les chambres à gaz où l'on entasse par milliers des hommes, des femmes et des enfants innocents pour en faire des cadavres. Eh bien, Lars Von Trier trouve cela plutôt "sympathique". Innocents? Pas tout à fait selon lui. La preuve: les rescapés ont fondé un état: Israël, qui nous "emmerde". Donc ces représentations en principe atroces, ne le sont pas vraiment pour cet abject cinéaste, si les victimes en sont juives.

De tels propos dépassent largement en horreur tous les dérapages de Jean Marie Le Pen qui n'ont jamais été aussi "explicatifs" et contre lesquels toute la classe médiatico-politique s'est vivement élevée. Et du coup, je me surprends même à éprouver une certaine "sympathie" pour...Dieudonné. Non pas pour ses méprisables prestations bien sûr, mais en raison de la sévérité du traitement de ses méfaits qui lui ont valu exclusions et interdictions de ses spectacles, alors que le film de Lars Von Trier est resté en lice pour continuer d'ambitionner une récompense à ce sinistre Festival de Cannes 2011, définitivement entâché pour moi, par cet incident.
J'ai noté avec une grande tristesse que ces monstrueuses déclarations qui sont un authentique appel au meurtre et à la haine raciale proférées devant un parterre de célébrités médiatiques et probablement "bien pensantes", n'ont prtovoqué aucun remous. Mieux encore, lors des retransmissions à l'antenne qui ont suivi, on a soigneusement occulté le passage "et d'ailleurs: Israël nous emmerde" afin de faire passer cela pour une simple provocation. Les médias sont toujours complaisants envers leurs "chouchous du "Show-biz".
Certes, l'ambiance était festive et sans doute "alcoolisée", mais cela traduit encore mieux ce que pensent vraiment ces démocrates européens à forte coloration "trotskiste", et qui habite l'inconscient collectif de nos sociétés décadentes. La délégitimation d'Israël, c'est effectivement "tendance", dans l'air du temps. Un air irrespirable.
Quant à ce lamentable cinéaste, je ne vois pas l'intérêt de quelque message qu'il pourrait donner dans ses films, avec un si indigent psychisme.

ALAIN BELLAICHE.

vendredi 13 mai 2011

2 ARTICLES REDIGES "A CHAUD" EN REACTION D'INDIGNATION A DES FAITS D'ACTUALITE QUI M'AVAIENT PARTICULIEREMENT EMU


1/ L'ex premier Ministre de Valéry Giscard d'Estaing décédé depuis, avait, alors qu'il était encore en fonction, donné l'impression d'être "déçu?" qu'un attentat antisémite perpétré au voisinage d'une synagogue parisienne, ait aveuglément atteint des français, affublés pour la circonstance, du maladroit épithète d'"innocents". On avait alors parlé de "lapsus" mais, quelques années plus tard, il délivrait un satisfecit à un membre du Front National peu après des propos antisémites tenus par ce dernier.

RAYMOND BARRE SIGNE SON « LAPSUS »

Sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, un attentat antisémite meurtrier ensanglantait la France aux abords immédiats de la synagogue parisienne de la rue Copernic…Et Raymond Barre premier ministre d’alors, de déclarer : « Cet attentat qui visait des israélites, n’a atteint en fait que des français innocents… ». Bien moins qu’une maladresse, la chose avait été présentée comme un « lapsus ». Le fameux « lapsus de Barre » demeuré dans l’Histoire.

En effet, une telle déclaration valait largement en horreur les divers dérapages et provocations de Jean Marie Le Pen où de ses lieutenants, car elle signifiait clairement qu’être israélite n’était pas en soi forcément innocent, soulignant ainsi une nette différence entre les « français innocents » et les « israélites » (innocents ?) visés par l’attentat qui finalement n’avait pas atteint la bonne cible.

Fort heureusement il ne s’était agi que d’un lapsus comme n’ont cessé de le marteler tant les médias que les politiques. Et en effet si tel n’eût été le cas, une pareille phrase nous aurait ramenés quelques décennies en arrière, de sinistre mémoire, où les israélites français, coupables de leur différence s’étaient vus parqués au camp de concentration de Drancy ou conduits vers d’autres camps de la mort d’Allemagne ou de Pologne ; recrutés par la police française et acheminés par les bons offices et l’aval de M. Maurice Papon, dont le même Raymond Barre (tiens !) avait demandé la grâce. Certes il n’était pas le seul à le faire, mais un tel « lapsus » commis par un premier ministre en exercice avait de quoi paniquer la communauté déjà si sensibilisée, et bien évidemment inciter l’intéressé à une toute particulière vigilance sur les propos qu’il pourrait avoir à tenir concernant de près ou de loin le sujet…Or, tout récemment, en des temps que l’on sait marqués par une forte résurgence des paroles et des actes antisémites, ne voilà-t-il pas que le même Raymond Barre décerne publiquement des éloges à M.Bruno Gollnish qui vient de tenir des propos on ne peut plus douteux. Nous sommes habitués aux provocations périodiques lancées par des leaders du Front National qui veulent rappeler à leur « clientèle », sans doute dans un but électoral, que dans une période où ces mouvements sont florissants, l’antisémitisme c’est bien eux et qu’il ne s’agit pas de partager. Jusqu’à présent, M. Barre n’avait pas eu recours à de tels procédés. Toujours est il, qu’un tel satisfecit délivré si peu de temps après les récents dérapages de cette personnalité du Front National peut fort bien ressembler à la « signature » du lapsus de l’ancien Premier Ministre de la France.

Un lapsus signé n’est plus un lapsus. Inquiétant non ?

Signé : Un israélite innocent. (mais pas naïf)



2/Dans le prolongement d'une "Pensée Unique" dans le délire égalitaire de juges illustrant une "bien pensance" significative tant de la mort de la réflexion au plus haut niveau que d'un refus de la fatalité sur fond de mécréance érigée en système.

PERRUCHE ET LA NOTION DE D...

Le Miracle de la Création n’est plus ce qu’il était:Parce qu’elles peuvent désormais décrire,et parfois comprendre (incomplètement d’ailleurs),certains phénomènes liés à la vie ou à la reproduction,nos Sociétés athées ne veulent plus leur reconnaître la moindre transcendance.

Dans un essai écrit bien avant les étranges décisions de la “Justice” dans cette affaire,j’avais déjà déploré que” l’Homme d’aujourd’hui”,balayant toutes les religions révélées,ne voulait plus croire qu’en celle qu’il assène lui-même avec l’aveuglement d’un “Intégrisme Laîc”:LA LOGIQUE EGALITAIRE,avec comme cleregé:les medias,et comme “Dieu unique”:l’”Homme Technologique”;Dans cette nouvelle croyance,toute disparité entre les êtres humains est récusée.Les différences les plus naturelles ne seraient imputables qu’à l’Homme seul et à sa Science.

En la circonstance,ni D...,ni le hasard,ni la génétique,ne seraient responsables d’un enfant porteur d’une anomalie.....Non,c’est la Médecin.N’avoir pas vu l’anomalie équivaut à en porter la charge totale.Quasiment à l’avoir provoquéel.Cela est particulièrement flagrant dans les attendus de l’arrêt Perruche où on a pu lire que le Médecin était” Responsable de la naissance”.L’EVIDENCE voudrait en effet que le “responsable de la naissance” ne fût ni le médecin,ni son erreur,mais tout simplement la ...Grossesse!...

Si tout un chacun pouvait s’arroger(a posteriori,car s’il nétait pas là,selon sa propre logique,il ne pourrait rien s’arroger du tout) le Droit de “ne pas naître”,c’est toute la Procréation qui se trouverait mise en cause:AVEC OU SANS RUBEOLE..La négation de l’entité du processus de la descendance,de l’Humanité même,et des choses les plus naturelles,ne pourraient nous conduire qu’à une Logique du Néant(On n’attendait pas moins de nos autorités prétendues “pensantes”

7/10/2002